Prime d’amélioration

Il s’agit d’une aide en capital de l’État qui peut être obtenue pour financer la rénovation de votre logement. Cette prime est accordée pour certains travaux effectués dans le but d’améliorer les conditions de salubrité et de sécurité dans les immeubles dont la première occupation est antérieure à 15 ans, sauf pour les travaux relatifs à la réduction du radon où l’aide étatique est seulement accordée pour les immeubles achevés avant le 1er mars 1994 (les travaux purement d’entretien ou d’embellissement ne sont pas considérés).

La prime d’amélioration correspond à 30% du montant des factures relatives aux travaux. Elle ne peut dépasser la somme totale de 10.000 euros par personne bénéficiaire.

Elle peut être payée en tranches, et concerner plusieurs logements. Elle ne sera accordée qu’après présentation des factures acquittées relatives aux travaux d’amélioration réalisés. En cas de vente du logement, cette prime n’est pas à rembourser.

La prime d’amélioration est également accordée pour la création de nouvelles pièces et l’agrandissement de pièces existantes. L’ancienneté de l’immeuble n’entre alors pas en ligne de compte. La prime d’amélioration n’est toutefois accordée que si les critères de surface utile d’habitation (voir ci-dessous) sont respectés.

Les primes inférieures à 125 € ne sont pas versées.
Conditions

vous êtes le propriétaire-occupant du logement. Si le logement appartient à plusieurs copropriétaires, le paiement a lieu avec effet libératoire entre les mains de l’un ou de l’autre des indivisaires, à moins que ceux-ci n’aient désigné un mandataire commun.
vous n’êtes ni propriétaire, ni usufruitier d’un autre logement au Grand- Duché ou à l’étranger.
le logement en question vous sert d’habitation principale et permanente.
en cas d’agrandissement, vous devez respecter les critères de surface utile d’habitation suivants :

maison unifamiliale : entre 65m2 et 140m2 ;

appartement : entre 45m2 et 120m2.

Ces surfaces peuvent être augmentées de 20m2 pour :

tout enfant à charge à partir du 3e
tout ascendant au 1er degré du demandeur et toute personne handicapée vivant dans le logement du bénéficiaire, à partir de la 5e personne qui y habite et à condition que cette personne ne soit pas elle-même propriétaire d’un logement.

Ne sont pas compris dans les dimensions précitées les caves, garages et greniers ; les ateliers, surfaces commerciales ou autres dépendances professionnelles sont exclus jusqu’à un maximum de 20m2.

Sont toutefois compris les mansardes ou les espaces permettant l’aménagement de mansardes mais uniquement dans la mesure où la hauteur minimum de la mansarde est d’au moins 2 mètres et que celle-ci dispose d’un accès normal et d’une surface totale de fenêtre dépassant 0,375 m2.

Pour les immeubles construits avant le 10 septembre 1944, aucune condition de surface n’est à remplir.
Revenu à prendre en considération

Est considéré pour le calcul de la prime d’acquisition, le revenu imposable qui doit correspondre :

soit à la moyenne des revenus des 3 années d’imposition précédant la date du commencement des travaux d’amélioration de votre logement
soit au revenu de l’année d’imposition précédant immédiatement cette date
soit au revenu de l’année du commencement des travaux d’amélioration du logement si

le demandeur n’a disposé d’aucun revenu au cours de l’année précédente
le revenu du demandeur a diminué de plus de 10% par rapport à l’année précédente

Le revenu ainsi considéré est le revenu imposable augmenté de tous les autres revenus, même non soumis à l’impôt, dont dispose le demandeur et toute autre personne vivant avec le demandeur dans le logement en question, à l’exception des descendants et des parents ou alliés du demandeur jusqu’au 2e degré inclusivement et sans prise en compte des prestations familiales, de l’aide financière de l’Etat pour études supérieures, des rentes d’orphelin et des allocations pour personnes gravement handicapées respectivement des prestations de l’assurance dépendance.

Si, en cas d’imposition collective du demandeur, le revenu à prendre en compte (sur base des dispositions précédentes) comprend également un revenu net provenant d’une occupation rémunérée du conjoint respectivement du partenaire, affilié à titre personnel à un régime de pension, ce dernier revenu, ramené au nombre-indice 100 du coût de la vie, est réduit à concurrence de 1.250 EUR.

Lorsque les conjoints sont mariés respectivement les partenaires ont signé une déclaration de partenariat depuis moins de 3 années au moment de la date du commencement des travaux d’amélioration, il n’est tenu compte pour l’octroi de la prime que du revenu de l’un des conjoints respectivement de l’un des partenaires, le revenu à retenir étant le plus élevé.

Dans le cas de l’imposition collective des conjoints respectivement des partenaires, il n’est tenu compte du revenu que d’un seul des deux conjoints respectivement des partenaires, à condition que l’autre conjoint respectivement partenaire ait cessé définitivement toute activité rémunérée au plus tard 2 années après l’occupation du logement pour lequel une aide a été demandée.
Travaux à considérer

Les travaux relatifs:

à la couverture du toit, à la charpente ou la zinguerie;
à l’assèchement des murs humides;
à l’aménagement d’un vide sanitaire ou d’une isolation équivalente;
au raccordement à l’égout ou à l’évacuation des eaux usées;
à l’équipement du logement en salles de bains et WC, y compris la fosse sceptique;
à la pose de conduites d’eau, de gaz et d’électricité;
à l’installation et au renouvellement du chauffage central;
à la pose et au remplacement de volets;
à l’addition ou l’extension de pièces d’habitation;
au ravalement des façades par un procédé traditionnel;
à l’assainissement des maisons exposées de façon prononcée aux émanations du radon. Pour les travaux visant à réduire les émanations du radon, cette aide étatique est seulement accordée pour des immeubles achevés avant le 1er mars 1994.

à l’exception des travaux prévus par la réglementation instituant un régime d’aides pour des personnes physiques en ce qui concerne la promotion de l’utilisation rationnelle de l’énergie et la mise en valeur des énergies renouvelables.
Situation de famille à prendre en compte

Pour la détermination de votre prime, c’est celle existant à la date du commencement des travaux d’amélioration de votre logement.

En cas de naissance d’un enfant dans l’année qui suit cette date, vous avez le droit demander le réexamen de votre prime sur la base de cette nouvelle situation de famille. Les enfants à prendre en considération sont ceux pour lesquels vous touchez des allocations familiales, qui habitent ensemble avec vous le logement subventionnée et qui y sont déclarés. Les enfants qui ne bénéficient plus d’allocations familiales mais qui sont co-affiliés à l’assurance-maladie du demandeur sont également considérés comme enfants à charge jusqu’à l’âge de 27 ans.
La prime d’amélioration est refusée si

l’année de première occupation de votre logement est inférieure à 15 ans (exception: en cas d’agrandissement de la surface habitable ou en cas de création de nouvelles pièces, l’ancienneté de l’immeuble n’entre pas en ligne de compte).

A Luxembourg-ville, le prix moyen pour acquérir un bien immobilier est 6 720 euros/m2.
Mais ne vous fiez pas à cette moyenne, car la capitale luxembourgeoise compte 24 quartiers avec des prix bien différents, pouvant aller de 5 400 € à 9 000 € par m2 pour les quartiers plus chers. Autrement dit selon le budget dont vous disposez, certains quartiers seront accessibles et d’autres les seront certainement moins. Voici en détail les prix au m2 à Luxembourg-ville par quartier.

Les prix au m2 dans la ville de Luxembourg par quartier

Quartier Appartement Maison Moyenne
BEGGEN 6 370 € 5 337 € 5 769 €
BELAIR 7 869 € 7 618 € 7 824 €
BONNEVOIE 5 872 € 5 436 € 5 761 €
CENTRE VILLE 7 321 € 6 476 € 7 157 €
CENTS 7 697 € 6 284 € 7 510 €
CESSANGE 6 521 € 5 896 € 6 363 €
CLAUSEN 5 657 € 5 657 €
DOMMELDANGE 6 012 € 5 854 € 5 943 €
EICH 6 387 € 6 114 € 6 354 €
GARE 6 967 € 5 618 € 6 900 €
GASPERICH 6 529 € 5 703 € 6 190 €
GRUND 7 426 € 8 609 € 8 179 €
HAMM 5 536 € 5 185 € 5 247 €
HOLLERICH 6 951 € 4 441 € 6 865 €
KIRCHBERG 8 117 € 7 694 € 8 054 €
KOHLENBERG 9 057 € 6 576 € 7 127 €
LIMPERTSBERG 8 619 € 7 666 € 8 430 €
MERL 7 883 € 6 786 € 7 789 €
MUHLENBACH 6 477 € 6 993 € 6 623 €
NEUDORF 6 455 € 5 270 € 5 947 €
PULVERMUEHLE 5 909 € 4 839 € 5 731 €
ROLLINGERGRUND 6 850 € 6 161 € 6 572 €
VERLORENKOST 5 485 € 5 560 € 5 491 €
WEIMERSHOF 9 099 € 8 780 € 9 068 €
WEIMERSKIRCH 6 455 € 4 731 € 5 454 €

Source: Portail immobilier

A un jet de pierre du centre-ville de Luxembourg, le quartier de Merl ne manque pas d’atouts pour séduire. Grâce à ses espaces verts, son parc et ses nombreux projets en cours, le quartier attire une population de plus en plus cosmopolite.

A Luxembourg, entouré par les quartiers de Belair au nord-est, de Hollerich au sud-est et par la commune de Strassen à l’ouest, Merl peut compter sur une situation géographique idéale.

Quartier convivial au caractère villageois, Merl compte pas moins de 5.381 habitants (chiffres au 31/12/2016) sur son territoire de 2,43 km2, soit environ 4,7% de la population de la capitale. Si sa croissance est habituellement stable (entre 100 et 250 nouveaux résidents chaque année), en 2016 le quartier a connu une nette augmentation de ses habitants (+412) par rapport aux années précédentes. Cette croissance renforce progressivement la densité de population du quartier.

La population a non seulement augmenté mais elle s’est également diversifiée. Le quartier se caractérise par son multiculturalisme : 73% de ses résidents n’ont pas la nationalité luxembourgeoise. Sur ce petit territoire, on recense près de 100 nationalités, parmi lesquelles des Français, des Portugais, des Italiens, des Belges, des Allemands ou encore des Espagnols et des Britanniques. Pour sa situation géographique stratégique, Merl attire de plus en plus de jeunes couples ou célibataires actifs, soucieux de vivre dans un quartier calme à quelques minutes seulement de leur travail. L’habitat y est de qualité. Il en découle des prix relativement élevés de l’immobilier.

Cela ne freine pas forcément les jeunes ménages, qui optent pour le quartier de Merl en raison de son offre variée en matière d’infrastructures. Merl regroupe plusieurs établissements scolaires sur son territoire. L’école de Merl, qui compte plusieurs bâtiments, a récemment été agrandie pour offrir un meilleur accueil aux plus jeunes. À proximité du quartier, des écoles secondaires, comme le Lycée Michel Rodange ou l’Athénée de Luxembourg, accueillent quant à elles les adolescents. Quelques commerces de proximité (comme par exemple Cactus) renforcent l’attrait du quartier.

Les sportifs trouveront également leur bonheur à Merl. Le Stade Prince Jean, qui abrite le terrain de football de Merl-Belair, a été réaménagé complètement en raison de l’état de ses infrastructures. Le quartier dispose également d’une salle de gymnastique, d’un hall sportif ainsi que d’un terrain de polo et de l’écurie de la Pétrusse.

Pour compléter son offre en matière de services, Merl peut compter sur le Conservatoire de la Ville de Luxembourg. Véritable atout du quartier et ambassadeur culturel de la Ville, le Conservatoire bénéficie depuis janvier 2016 d’une nouvelle extension, rendue nécessaire par une demande pédagogique toujours plus importante. De nouvelles salles de musique (percussions, saxophone/jazz), de théâtre et de danse sont venues s’ajouter à l’infrastructure. Un centre culturel, « Home Saint Genoul » propose également bon nombre d’événements destinés à un large public.

En matière de loisirs et de détente, Merl n’est pas en reste. De nombreux terrains extérieurs et espaces verts sont accessibles aux petits comme aux grands. Le quartier compte sur son territoire des aires de jeux publiques, des terrains multisports pour
les adeptes des jeux de balle mais aussi une zone récréative à proximité du cimetière
et un parc où il est possible de se relaxer ou faire du trampoline en été. Le ruisseau,
qui traverse le quartier d’ouest en est, renforce encore un peu le caractère
villageois du quartier.

À Merl, tout est fait pour favoriser les alternatives en matière de mobilité. On dénombre sept parkings et quatre stations « Vel ‘oh ! ». Plusieurs lignes de bus desservent fréquemment la dizaine d’arrêts de bus que compte le quartier. Le P+R Bouillon, à proximité, a pour objectif de désengorger le trafic vers et depuis le
centre-ville. Malgré ces mesures, Merl subit les ralentissements quotidiens.
Le quartier est en effet traversé par plusieurs grands axes routiers empruntés
chaque jour par les riverains et les travailleurs de la capitale.

Dans un souci constant d’amélioration de ses infrastructures et pour répondre à la croissance de sa population, Merl a mis en route plusieurs projets. Un projet d’aménagement particulier (PAP) pour un nouveau quartier nommé « Centre de Merl »
a été lancé. Le projet prévoit la création de logements de tailles et de types variés sur une surface d’environ 330 ares. 42 maisons d’habitation unifamiliale et neuf immeubles d’habitation collective, comprenant 142 logements, devraient donc voir
le jour. Ce projet cherche à répondre à la pénurie de logements constatée sur le
territoire du quartier mais également sur l’ensemble du pays.

Le projet « Jardins de Luxembourg » prévoit quant à lui la réalisation d’environ 76.000m2 de surfaces constructibles au total, dont environ 2.000m2 de surfaces commerciales ainsi que 640 logements. Sur le territoire de Merl, cinq immeubles d’habitations collectives comprenant 100 logements verront le jour et
occuperont une surface de 90 ares.

Les espaces verts qui font la joie des habitants de Merl vont eux aussi
subir un lifting. La rénovation du pavillon du parc de Merl sera finalisée
d’ici l’automne 2017. La terrasse et le restaurant seront agrandis, une
annexe sera créée et la rotonde sera mise à neuf.

Merl se veut écologique. C’est pourquoi un bassin d’orage sera construit et des collecteurs d’eaux mixtes et d’eaux usées seront mis en place pour assainir le quartier et lui permettre de disposer de capacités hydrauliques adaptées. Au nord, un nouveau centre de recyclage ainsi que des immeubles et infrastructures pour les services « hygiène » et « cimetières » de la Ville seront aménagés.

Source.Portail immobilier

Située à la frontière belge, au sud-ouest du Grand-Duché de Luxembourg, la commune de Käerjeng propose un cadre de vie à la fois naturel et industriel, apprécié de ses nombreux habitants.

Né de la fusion de Bascharage et Clemency, la commune de Käerjeng a vu le jour en 2012. Elle compte aujourd’hui cinq localités – Bascharage, Clemency, Fingig, Hautcharage et Linger – réparties sur une superficie de près de 34 km2.

Avec plus de 10 000 résidents, Käerjeng arrive en 9ème position des communes les plus peuplées du pays. Au cours de ces dernières années, elle a connu une évolution démographique importante. Pour preuve, depuis 2000, 1 500 habitants supplémentaires ont rejoint la commune. Bascharage constitue la plus grande entité puisqu’elle regroupe plus de la moitié des résidents de la commune.

Malgré sa situation frontalière, Käerjeng rassemble une population fortement luxembourgeoise : plus de 70% au 1er juin 2015. Les autres pays représentés sont le Portugal (environ 11%), suivi de la France et de la Belgique (à hauteur d’un peu plus de 4% chacun).

Dans cette commune aux deux visages, nature et industrie se côtoient avec harmonie. Käerjeng abrite la réserve naturelle « Boufferdanger Muer », située entre Hautcharage et Fingig. La commune cherche continuellement à mettre en valeur ce patrimoine, notamment via des circuits à travers champs et forêts.

Parallèlement, Bascharage attire depuis longtemps bon nombre d’entreprises. La zone industrielle, créée il y a une trentaine d’années, réunit des sociétés de la région et des filiales de grands groupes européens. Citons par exemple Delphi Automotive Systems et Guardian Luxguard. La Brasserie Nationale, qui produit la bière Bofferding, y a également installé sa production.

Seul bémol : ces nombreuses entreprises et la localisation de la commune entraînent un trafic routier dense, principalement autour de Bascharage. Pour cette raison, le Conseil de Gouvernement luxembourgeois a approuvé un projet visant à instaurer un contournement de la localité. Cette initiative devrait permettre d’oxygéner à nouveau le centre-ville et devrait garantir à tous un environnement serein. Pour désengorger encore la circulation, 60 places supplémentaires seront libérées dans le P+R nord. L’aménagement d’un P+R sud est aussi à l’étude.

En ce qui concerne les transports publics, Käerjeng est bien desservie, que ce soit par le bus ou par le train. Luxembourg-Ville, les communes avoisinantes et la Belgique peuvent être rejointes facilement. Enfin, la mobilité douce sera prochainement renforcée grâce à la création d’un itinéraire cyclable reliant plusieurs gares entre Pétange et Bertrange.

Ces dernières années, pour accompagner la croissance de sa population, la commune a voté la construction de résidences et de lotissements : une résidence de 7 logements et de 2 maisons unifamiliales à Bascharage, 26 maisons et 3 résidences collectives de 8 logements chacune à Hautcharage ainsi que 32 lots pour des constructions d’habitations unifamiliales à Fingig. Par ailleurs, un nouveau quartier devrait bientôt voir le jour à Hautcharage. Comme le précise la commune, « le PAP prévoit la création d’un lotissement avec 23 maisons unifamiliales, dont 5 isolées, 6 maisons jumelées et 12 maisons en bande ».

Grâce à la fusion, Käerjeng bénéficie désormais de ressources plus importantes pour ses nombreux résidents. Dans ce cadre, la commune accorde une attention toute particulière aux équipements dédiés à la jeunesse car, comme le souligne le bourgmestre Michel Wolter, « nos enfants sont une inestimable richesse, un fabuleux réservoir de talents diversifiés. Ils représentent aussi l’avenir. Il est donc primordial des les aider à préparer leur futur de la meilleure manière qu’il soit ». Ainsi, on retrouve sur le territoire de nombreuses crèches, des écoles fondamentales, précoces et préscolaires, un lycée technique pour professions de santé, une école de musique et deux maisons relais.

L’offre en matière de sports est elle aussi bien étoffée. La commune dispose d’aires de jeux, d’une piscine scolaire, de plusieurs centres sportifs, de terrains de football et de tennis. Il est également possible de pratiquer le handball, le basket, le karaté ou encore le fitness. Mouvements de jeunesse, chorales, harmonie et théâtre viennent compléter ces riches infrastructures de loisirs. En tout, près de 100 associations locales animent la commune au quotidien. Le nouveau hall polyvalent de Bascharage, dont la fin des travaux est prévue en mai 2017, permettra de regrouper tous ces équipements sportifs et culturels, et contribuera encore à offrir aux habitants un cadre de vie dynamique et agréable.

Source: Portail immobilier

Le développement de la commune de Kayl s’articule autour du nouveau quartier de Kayl Nord (Toussaintsmillen) où 700 logements seront construits dans le futur. Dès à présent, la commune se prépare à accueillir ces nouveaux arrivants en améliorant ses infrastructures.

Située au sud du Grand-Duché de Luxembourg, dans cette région que l’on appelle depuis plus de cent ans « Le Bassin minier », la Commune de Kayl est en plein renouveau. Située à la frontière française, son territoire est délimité par les Communes de Rumelange, d’Esch/Alzette, de Schifflange, de Bettembourg de Dudelange, de Volmerange-les Mines et d’Ottange. Cette position centrale entre les principaux pôles du sud du pays lui assure aujourd’hui une force d’attraction grandissante pour les personnes à la recherche d’une petite commune tournée vers l’avenir.

Si le déclin de l’industrie de l’acier dans les années 60 et 70, surtout à Tétange, avait mené à une perte d’emplois et à une diminution du nombre d’habitants, c’est désormais de l’histoire ancienne. Aujourd’hui, Kayl est un lieu de résidence très attrayant avec près de 9.000 habitants, un bon réseau routier et une infrastructure très moderne. « Nous recensions 8.776 habitants au 15 septembre 2016, dont 5.034 pour Kayl et 3.742 à Tétange », compte John Lorent, le bourgmestre de la commune.
Des chiffres en constante augmentation.

Pour assurer son développement harmonieux dans les années à venir, la commune vient de lancer la mise en production de son Plan d’Aménagement Général (PAG). Dans les cartons depuis 2014, il prévoit une extension urbanistique importante au nord de la commune. « Ce plan a permis le reclassement de certaines zones et tous les regards se tournent désormais vers le nouveau quartier de Kayl Nord (Toussaintsmillen) où 700 nouveaux logements seront construits dans le futur. » Pour l’heure, le projet en est à ses débuts. Un aménagement progressif, par secteur, est prévu. « Tout dépend notamment de la bonne volonté des propriétaires terriens d’avancer avec nous dans ce projet ambitieux, sur base du Plan d’aménagement particulier (PAP) », poursuit le bourgmestre. A terme, ce sont environ 1500 résidents qui devraient rejoindre la commune et contribuer à son essor. Cette large zone comprise entre la rue de Schifflange, la rue de Noertzange à l’est et la collectrice du sud au nord devrait accueillir appartements et maisons unifamiliales, avec un minimum de 30% de logements à loyer modéré

Sur la plan économique et de l’emploi, la commune est idéalement située à mi-chemin entre Dudelange et Esch-sur-Alzette. « Nous disposons par ailleurs d’une liaison directe en bus vers la capitale via la ligne RGTR 197 », précise John Lorent, dont l’objectif est d’accroître l’attractivité de sa commune. « Une zone artisanale et commerciale va voir le jour entre Tétange et Rumelange, sur le site de l’ancien crassier de l’usine, à l’abandon. Jusqu’à présent, nous manquions de place pour ce type d’activités. Cette zone devrait attirer de nouveaux commerces et petits artisans de la région. »

Ces dernières années, la commune de Kayl a concentré une grande partie de ses efforts dans les écoles et les infrastructures scolaires. La nouvelle maison-relais, sur le site du campus « Um Widdem », est en cours de construction et devrait ouvrir ses portes à la rentrée 2017. « Plus de 200 enfants, du préscolaire au primaire, pourront y être accueillis dans d’excellentes conditions », précise le bourgmestre. « La jeunesse est une de nos priorités. Une nouvelle école et une piscine d’apprentissage vont prendre place sur le site de l’ancienne école du Faubourg. Nous avons également beaucoup travaillé à la réinstallation d’écoles de quartier. Nos prédécesseurs à la tête de la commune avaient voulu centraliser l’offre scolaire, mais cela engendre de nombreux problèmes de trafic. A l’inverse, nous voulons rapprocher les écoles des quartiers, réduire les déplacements et offrir un meilleur cadre de vie à tous, parents et enfants. » Prochainement, en collaboration avec le privé, la commune disposera également d’un centre médical de proximité. Il sera installé rue Neuve, non loin du Cactus.

Avec la cessation de l’activité minière en 1978, le paysage de la commune porte encore quelques stigmates de l’activité humaine. Mais la nature a tôt fait de réparer en tout ou en partie ces blessures. Le territoire délaissé est devenu, du fait de la présence d’espèces pionnières de toutes sortes, un espace digne d’une protection poussée. Ainsi, le Parc naturel « Haard » à l’est invite les habitants à la détente en respect avec la nature. Un nouvel espace de réserve naturelle se développe également au nord-ouest avec la mise sous protection de la zone « Lalléngerbierg » et « Brucherbierg » (Communes de Schifflange, d’Esch/Alzette et de Kayl).

S’y ajoute, en tant qu’endroit très remarquable, la zone située près du Monument national des mineurs et appelée « Léiffrächen » avec son impressionnant front de taille permettant de retracer 170 millions d’histoire géologique du bassin de Paris.

Les amateurs de nature et d’histoire industrielle prendront donc un immense plaisir à visiter la Commune de Kayl. De très nombreuses associations locales contribuent pour leur part à la qualité et à la diversité de l’offre culturelle et de loisirs, pour les petits comme pour les grands.

Source: Portail immobilier

Située à quelques kilomètres de Luxembourg-Ville, Steinsel n’en reste pas moins une commune rurale et de taille moyenne où il fait bon vivre. Soucieuse du bien-être de ses habitants, elle veille à se développer de manière réfléchie.

Commune pourtant limitrophe de la capitale, Steinsel apparaît d’emblée paisible et sereine, loin de toute agitation urbaine. Comprenant trois localités – Steinsel, Heisdorf et Mullendorf –, la commune accueille quelque 5.300 habitants sur une superficie de près de 22 km2. Elle affiche ainsi une densité moyennement forte, au regard des chiffres enregistrés par certaines des sept communes voisines, telles que Luxembourg-Ville, Walferdange ou encore Kopstal. Au cours de ces 15 dernières années, la population de la commune a grandi de façon mesurée, augmentant d’une cinquantaine de personnes chaque année. « S’il reste des terrains à bâtir, des espaces disponibles, notre objectif n’est pas d’attirer le plus de monde et de construire à outrance », précise d’emblée Jean-Pierre Klein, le bourgmestre de Steinsel. Au contraire.

La commune, qui modifie actuellement son Plan d’Aménagement Général fixant les grands axes de développement pour l’avenir, entend préserver le cadre harmonieux de ses entités et maintenir une certaine qualité de vie pour ses résidents. Trois grands piliers ont ainsi été déterminés. « Ils consistent à préserver le caractère rural de la commune, à ne pas étendre le périmètre d’agglomération et à réserver des terrains fonciers pour l’usage public », explique le bourgmestre. Parmi les projets phares défendus dans ce sens, citons la suppression du passage à niveau de Heisdorf et son remplacement par un chemin sous-terrain afin de mieux garantir la sécurité de tous ; l’aménagement d’un centre de recyclage au niveau intercommunal ou encore la renaturation du lit de l’Alzette, qui traverse la commune, en collaboration avec le ministère de l’Agriculture.

Steinsel veille en effet à protéger son environnement du mieux possible. La commune renferme plus de 1.200 hectares de forêt, soit plus de la moitié de sa superficie, dont 363 qui appartiennent à la commune. Ces zones vertes offrent de multiples chemins de promenade et constituent un véritable poumon vert. « Nous avons la chance de vivre dans une commune rurale, tout en étant proches de la ville. Nous devons préserver cette richesse, que les familles, notamment, apprécient grandement », commente Jean-Pierre Klein.

Immobilier neuf à Steinsel

Côté immobilier à Steinsel, les aménagements restent donc modérés, de manière à maintenir cette harmonie caractéristique de la commune. L’aménagement du centre de Steinsel, autour de la place de l’église, est en phase de se terminer. A terme, ce quartier mixte abritera des logements de haut standing et étendra l’offre déjà disponible de commerces et établissements de service nécessaires au quotidien. « Avec le Fonds du Logement, nous allons inaugurer prochainement une résidence de 14 logements sociaux pour locataires tandis que 52 autres unités sont toujours en construction à Heisdorf », ajoute le maire. Un important projet de logements devrait encore être développé à l’entrée de Steinsel, aux abords de la rue basse.Une situation idéale, entre Luxembourg
et Mersch

A l’image de toutes les communes qui entourent la capitale, les terrains tout comme les habitations des entités de Steinsel partent à haut prix. A titre d’exemple, le prix de vente moyen d’un appartement existant est de 5.950 euros du mètre carré, et de 4.808€ pour une maison (statistiques atHome.lu – avril 2017). La proximité de Luxembourg-Ville – à 8 km seulement de Steinsel – explique en grande partie ce phénomène. « Toute la commune est reliée de façon exemplaire au centre de Luxembourg et au Kirchberg par le transport public, ce qui facilite les déplacements des travailleurs », mentionne Jean-Pierre Klein. Il est également très simple de rejoindre Mersch, qui se trouve elle aussi à une dizaine de kilomètres. Le train, qui relie Luxembourg-Ville au nord du pays, s’arrête en effet à Heisdorf. Enfin, la mobilité douce est encouragée, grâce au développement permanent des chemins piétons, des pistes cyclables et d’espaces de stationnement facilitant le covoiturage, visant à limiter l’usage des véhicules individuels.

Mais si la commune est voisine de la capitale et y est facilement reliée, elle offre aussi sur son territoire de nombreuses possibilités d’emploi, grâce aux quelque 300 sociétés qui y sont implantées, notamment au sein de la zone industrielle.

Sur le plan des loisirs, Steinsel est également bien fournie. « La vie culturelle de notre commune est très animée, grâce aux nombreux événements organisés –expositions, cabarets, théâtres… – qui permettent à chacun de trouver son bonheur », assure Jean-Pierre Klein. Membre de la PIDAL (Piscine Intercommunale de l’Alzette) située à Helmsange, à moins de trois kilomètres, la commune, en partenariat avec les associations locales, propose aussi une belle palette de cours sur son territoire, que ce soit dans le domaine artistique, linguistique ou sportif. « Nous disposons de la meilleure équipe luxembourgeoise de basket, que ce soit chez les hommes ou chez les dames. Nos équipes de football sont également bien positionnées », souligne avec fierté le maire.

Centre de Steinsel

Afin de renforcer encore davantage l’offre en matière de divertissements, un second hall sportif et culturel verra bientôt le jour à Heisdorf. L’espace intégrera aussi une nouvelle crèche et une maison-relais, permettant d’accueillir de manière optimale les enfants du village et d’aider les parents à mieux concilier vie familiale et vie professionnelle. Le campus scolaire de Heisdorf accueille déjà le cycle 1 de l’enseignement fondamental, tandis que celui de Steinsel regroupe les cycles 2 à 4 ainsi qu’une maison-relais, un hall omnisport, une salle culturelle et une crèche. « L’avenir de nos enfants est essentiel. C’est pourquoi nous souhaitons moderniser les infrastructures qui leur sont dédiées, afin de leur assurer un environnement vivant et dynamique », évoque le bourgmestre. Cela se traduit par la création de nouvelles infrastructures, l’aménagement de nombreuses aires de jeux et le développement d’animations au sein de la maison des jeunes. « De la même manière, nous accordons une attention particulière aux seniors, en mettant sur pied des activités spécifiques pour leurs loisirs et des structures pour encourager au maximum le maintien à domicile », conclut-il. Par là, Steinsel entend assurer à tous, petits et grands, un environnement et un encadrement de qualité.

source: portail immobilier